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• D’abord un échange de correspondances avec le ministère de l’éducation nationale, puis une lettre de l’inspecteur d’académie du Pas-de-Calais de l’époque qui conclut ainsi : « ... avec mes chaleureux remerciements pour notre courte collaboration... »

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• Et quelques témoignages d’instituteurs et institutrices tout aussi profanes que leurs élèves qui ont participé à l’opération « échecs à l’école ». Par exemple, une institutrice écrivant à sa hiérarchie : « ... Réticente au début de l’expérience, je dois reconnaitre qu’elle a suscité un vif intérêt chez nos élèves en leur apportant un enrichissement substantiel... » ou cette autre institutrice écrivant aussi à sa hiérarchie : « ... Après trois semaines d’initiation, les élèves sont familiarisés avec l’échiquier, la plupart sont enthousiastes, certains sont passionnés... »

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• L’analyse du maître qui, aussi profane de ses élèves, a amené à la victoire une petite équipe de quatre enfants dans une compétition académique en concurrence avec d’autres enfants entraînés par des enseignants chevronnés de la ligue du Nord des échecs : « ... Au nom de tous les élèves à qui vous avez su communiquer votre enthousiasme pour les échecs, je vous remercie vivement pour le bénéfice considérable que chacun de nous a tiré de votre programme... »

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• Les commentaires sans aucune complaisance et très instructifs d’un professeur de collège et bon joueur de la ligue du Nord des échecs qui a fait l’analyse de ce programme d’initiation : « ... On ne peut enseigner ce qu’on ne connait pas... Cet argument ne tient plus. Le contenu est donc riche, enfin le caractère non dogmatique, écueil difficile à éviter dans ce type d’enseignements, est une réussite... »

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• Les commentaires d’un fort joueur de l’époque : « ... En conclusion, il fournit à ce public tout ce qu’un technicien pourrait lui apporter avec, en plus, un certain engouement... »

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• L’avis d’un jeune champion de France en catégorie « cadets » : « ... C’est amusant, les échecs sont considérés comme un jeu. Je pense qu’on ne peut pas faire mieux. Si j’avais été initié comme cela, je pense que j’aurais gagné deux ans... »

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• Un press-book rassemblant les articles de presse de différents journaux qui s’étaient fait l’écho de cette opération « Échecs à l’école ».